De la grande poésie
Alors voila quand ma prof de français nous a parlé de ce magnifique poéme on a doutais quand a son existance mais après une recherche sur google s'est la surprise ce poéme existe vraiment. Ouvrez vos yeux et lisez donc cette merveille!
Le Sonnet du trou du cul:
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C'est l'olive pâmée, et la flûte caline,
C'est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos
Vive les doubles-posts :rolleyes:
Oups lors du premier post j ai planter et le post s afichait pas alors j en ai refais un. Je m excuse pour la boulette si un admin pouvait supprimer l autre post j arrive pas a le faire moi meme. Merci :D
D'Arthur Rimbaud ou Paul Verlaine , c'est comme on veut :D
En attendant comme ils avaient des moeurs que ne réprouverait pas Alba , c'était difficile de faire une Ôde à la Figue 
Ben je connaissais pas et je trouve ça très joli, et ça a tout à fait sa place dans l'esprit CZ, mais pour éviter les floods inutiles, je clos le sujet